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Le Canard du Web

21 décembre 2007

Comment référencer son site internet ?

Créer n’est pas joué. Ce n’est pas parce qu’on a terminé l’élaboration de son propre site web que celui-ci va de suite être référencé. Or, comment faire pour que notre site apparaisse en tête de liste des différents moteurs de recherche.
Prenons l’exemple de Google, le moteur de recherche le plus utilisé au monde par les internautes. Il propose le référencement gratuit de n’importe quel site nouvellement créé. Pour cela, il suffit de cliquer sur les liens « Add URL » ou « Add a site » que chacun de nous pourra trouver sur la page d’accueil Google. Seulement, il y a un « hic ». En effet, Google ne garantit en aucune mesure que notre site soit bel et bien référencé. Pire encore, il n’accorde aucun délai de réponse favorable ou défavorable.
Alors, que doit-on faire ? Doit-on payer pour être sûr que le site soit référencé ? Il est vrai que ça peut aider. Bien que là encore, rien ne soit garanti. Si l’on a les moyens de payer le prix fort, on a de fortes chances d’apparaître en haut de la liste. Sauf que le risque est de retrouver notre site référencé dans des liens commerciaux. Bref, référencer son site n’est pas une mince affaire. Il ne faut surtout pas se décourager ou encore se laisser endormir par des boîtes qui proposent de référencer votre site sur plus de cent moteurs de recherches moyennant finances. Beaucoup vous diront que c’est de l’arnaque, y compris ceux ayant déjà travaillé dans ces types de structures. Certains témoignages sont d’ailleurs disponibles sur le web.
En revanche, des sites comme « Abondance.fr », site Français par excellence de référencement propose des pages pleines de conseils et d’astuces. Cette plateforme met d’ailleurs à disposition une méthode en douze étapes qui, normalement, ne peut qu’amener au succès. Encore faut-il maîtriser le langage informatique sur le bout des doigts. Mais quand on crée son propre site, cela signifie qu’on est d’ores et déjà sur la bonne voie. N’est-il pas ?

Marc-Antoine Barrault

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21 décembre 2007

Qu’est-ce que l’URL ?

Pas d’internet sans URL. Les anglophones la nomment Universal Resource Locator. En tant que francophones, nous nous contenterons de l’appeler Repère Uniforme de Ressource. Chacune des pages du World Wide Web possède son URL, c'est-à-dire sa propre identité. Autrement dit, chaque page du web est unique.
Cette identité est visible dans la barre d’adresse et prend toujours la forme suivante, d’où le terme « uniforme » : « http:/www.abacus-référencement.com/lexique/url.html ». L’URL est donc composé de plusieurs éléments parmi lesquels on peut compter le protocole (http:/, ftp, https:/), le domaine (www.abacus), le NIC ou TLD (.ca, .com, .net), le dossier (/dossier) ou encore le type de document (navigation.htm).
Autrefois visible qu’en Anglais, l’URL apparaît désormais dans onze langues reconnues. Il doit être court, contenir des mots-clés pertinents et ne doit en aucun cas inclure de caractères spéciaux tels que « ?, %, $ ou = ».

21 décembre 2007

Le Fournisseur d’Accès à Internet

Un fournisseur d'accès à Internet (FAI), équivalant au terme anglais Internet Service Provider (ISP) est une entreprise offrant une connexion au réseau informatique Internet. Beaucoup d'entreprises de télécommunication sont également des FAI. Les activités des FAI français sont régies par la loi N° 2000-719 du 1er août 2000 sur la responsabilité des acteurs de l’Internet. 

Il est courant que les communications entre utilisateurs d'un même FAI ne transitent pas par Internet, et parfois même entre deux FAI distincts, qui pour économiser de la bande passante s'échangent du trafic à destination l'un de l'autre. Cet échange est souvent gracieux, mais lorsque l'échange entre deux FAI est déséquilibré ou que l'un des opérateurs se sent lésé, un dédommagement peut être mis en œuvre.

Il existe de nombreux types d'accès à Internet, usuellement ordonné par l'ancienneté de la technologie et la vitesse atteignable : modem 56K, modem câble, xDSL dont l'ADSL, FTTH, T-carrier (T1, T2, T3), Wimax et liaison radio par satellite (mono ou bidirectionnel).

Les offres d'accès Internet par ADSL s'accompagnent la plupart du temps d'un accès à la télévision et du téléphone gratuit vers les fixes en France. C'est par la prise téléphonique que les données arrivent chez vous grâce à un boîtier fourni par votre FAI. L'inconvénient en cas de panne : vous n'aurez alors ni télévision, ni téléphone, ni Internet. La qualité du téléphone n'est pas toujours parfaite, idem pour la télévision. Quant à l’avantage, c’est le prix forfait peu élevé dépendant toutefois des fournisseurs.

De nombreux critères des offres relèvent la différence entre les FAI : couverture, bande passante, prix, accès illimité, service technique et services. Il faut s'y retrouver parmi les différentes formules d’abonnement proposées : abonnement payant avec accès illimité, abonnement payant avec accès limité, accès à Internet sans abonnement, et fournisseurs d'accès gratuits.

L'Association française des Fournisseurs d’Accès et de Services Internet (AFA), constituée en 1997, a deux objectifs principaux : mettre en place une structure représentative de l'industrie et élaborer une déontologie propre à la profession. Aujourd’hui, dix-sept FAI adhérent à l’association.

Pour plus d’information sur les FAI


http://www.commentcamarche.net/utile/fai.php3

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fournisseur_d'acc%C3%A8s_%C3%A0_Internet

http://www.linternaute.com/guides/categorie/247/fournisseurs_acces_internet_-_fai.html

http://www.afa-france.com/

http://www.legalis.net/cgi-iddn/french/affiche-jnet.cgi?droite=internet_responsabilite.htm

Meak Em

21 décembre 2007

MSN, moteur de recherche

MSN est l’un des trois moteurs de recherche, le plus important à l’heure actuelle, avec Google et Yahoo. En France, on connaît souvent mal ce moteur de recherche alors qu’aux Etats-Unis, il est reconnu et très utilisé. Pour le désigner, on utilise l’appellation « MSN » ce qui est une erreur. Le vrai nom de ce moteur de recherche est « Live search », anciennement Windows live search;
D’après l’encyclopédie en ligne wikipédia http://fr.wikipedia.org, MSN est une abréviation de « Microsoft Network ». Il a été conçu à l’origine par Microsoft pour concurrencer Internet et le World Wide Web. Sa première version a été lancée le 24 août 1995, en même temps que la sortie de Windows 95.
Ce n’est qu’en 2005 que Microsoft a lancé officiellement son moteur de recherche, maison, alors qu’il avait profité pendant plusieurs années de bases de données déjà établies (annuaire Looksmart ; puis Inktomi qui a été racheté ensuite par Yahoo). Depuis 2003, Microsoft avait le projet de constituer sa propre technologie de recherche.
D’après le site http://www.atelier.fr, Live search comporte 5 milliards de pages Web, il a été conçu à la manière de Google, dans un style épuré  et dans un design simple. Sa version française à pour adresse : http://search.msn.fr. Elle permet d’effectuer des recherches sur Internet, sur les images référencées sur le Web, dans les moteurs d’actualités et sur l’encyclopédie Encarta. La version américaine comporte une fonction supplémentaire, qui permet d’aller chercher parmi les fichiers de stockage des PC. Pour cela, il faut télécharger la barre d’outil MSN. Cependant, la direction de Microsoft a reconnu qu’elle devait encore travailler sur la recherche de proximité et d’hyper-proximité.
D’après une enquête, sur le profil des utilisateurs de Live search, disponible sur le site : http://advertising.microsoft.com/fr, la moyenne d’âge des utilisateurs serait entre 15 et 25 ans. Depuis 2006, une nouvelle version de Live search est en ligne. Elle a été construite dans une optique de concurrence avec les autres moteurs de recherche.

Clémence Lambard

21 décembre 2007

Datacenter ou la mémoire d’une entreprise

Héberger et traiter les données d’une entreprise, c’est le but d’un Datacenter ou centre de données. Il utilise le protocole Internet pour mettre en réseau les données que le centre de traitement a collecté. Un Datacenter est destiné aux organisations et grandes entreprises qui produisent de grands volumes de données et dont les applications doivent supporter des trafics importants. 
Des normes spécifiques d’aménagement et de sécurité (alimentation électrique, contrôle de la climatisation et du taux d’humidité, …) sont à appliquer pour le bâtiment qui occupe le centre de traitement afin d’éviter tout accident. D’ailleurs, on conserve généralement un double des données.
Routeurs et serveurs sont là pour gérer les informations et permettre aux entreprises de les consulter. S’il fallait schématiser l’ensemble, on comparerait les serveurs et les routeurs à des boîtes de pizzas empilées. Chaque serveur détient un nombre important de données. Les routeurs se chargent du déplacement du « paquet » (nombre de données) et de le mettre en réseau. Les composantes les plus habituelles sont des systèmes de gestion de base de données, des serveurs de fichiers, des serveurs d’application, des middleware.
Un centre de données rend donc un service à une entreprise qui ne choisit pas de gérer elle-même ses données. Les banques ont généralement les centres de données les plus sécurisés.

Mélanie Carnot

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21 décembre 2007

Wikipédia : la fiabilité au prix de la gratuité

Dixième site le plus visité au monde selon Alexa, entreprise californienne de statistiques sur le Web, Wikipédia s’est véritablement imposé comme une référence incontournable sur la toile. Qui ne s’est jamais retrouvé devant une page internet de cette encyclopédie libre et gratuite ?
Depuis sa création en 2001 par l’américain James Wales, Wikipedia se décline dans plus de deux cents langues et rassemble plus de 7 millions d’articles. Elle se base sur le « wiki », un système de gestion de contenu de site Web qui rend ces pages librement modifiables par tous les rédacteurs inscrits. Un projet citoyen qui veut que la connaissance soit accessible au plus grand nombre. Pour participer à ce défi, rien de plus facile : s’inscrire en temps que rédacteur. Facilité trop admise qui pousserait à toute forme d’abus ? Les wikipédiens ne sont pas à l’abri des plus critiques les plus acerbes. Pourtant, Wikipédia s’engage dans la neutralité du discours en soulignant qu’elle n’est pas la porte ouverte à toutes les plaisanteries et à toutes les théories les plus fumantes.

Droit de réponse

De « qui dirige Wikipédia » à «comment peut-on faire confiance à des articles rédigés par n’importe quel amateur »,  l’internaute visite le site et trouve une série de questions qui répondent à toutes les objections. « Wikipédia n’est pas lié à un groupe industriel ou financier ». Première justification. La relecture est faillible mais Wikipédia mise sur l’honnêteté de la communauté des rédacteurs pour corriger les bévues. De plus, certains mots sont traqués systématiquement. Des articles comme « Hitler » sont protégés et ne peuvent être modifiés que par les wikipédiens les plus anciens. Deuxième justification. « Nous n'avons pas tous pour objectif de faire de Wikipedia une ressource documentaire en elle-même ». L’encyclopédie en ligne a conscience de son amateurisme et insiste sur la vérification des sources mentionnées sur le site. Troisième justification. Autrement dit, Wikipédia reconnaît ses imperfections.

Riposte

Autopromotion, fuite des experts devant les modifications libres, manque de hiérarchisation scientifique, corrections défaillantes et persistantes dans le temps, voilà le constat d’une étude menée par des étudiants en Journalisme de Sciences Po Paris en septembre 2007. Wikipédia est-il réellement fiable ? Il n’empêche que pour riposter aux résultats de l’enquête, l’un des administrateurs de « Wiki », David Monniaux, a pris l’initiative de bloquer la possibilité de modifier ou de créer des articles dans Wikipédia depuis les ordinateurs de l’institut d’études politiques, expliquant que l’école piratait le site en introduisant sciemment des erreurs. Critique mal assumée ou défaut de neutralité ?
Chez les concurrents, on tente également une riposte. Google lance de son côté « Knol », sa propre encyclopédie Wiki sur le Web. Universalis propose des articles consultables gratuitement. Auront-ils le même succès que Wikipédia ?

Mélanie Carnot

21 décembre 2007

Google veut pulvériser des records

Google a été fondée le 27 septembre 1998 dans la Silicon Valley en Californie par Larry Page et Sergey Brin. Depuis 2001, Eric Schmidt en est le PDG. La société compte environ 16 000 employés dont la plupart travaillent au siège mondial : le Googleplex à Mountain View. Google s'est donné comme mission d'« organiser l'information à l'échelle mondiale et de la rendre universellement accessible et utile ».

Sur la période s'étalant de juin 2000 à novembre 2004, Google aurait indexé plus de 8 milliards de pages Web, 1 milliard d'images. Début 2007, Google valait quelque 160 milliards de dollars à la bourse de Wall Street. Google possèderait le parc de serveurs le plus important du monde avec environ 450 000 machines réparties sur plus de 25 sites de par le monde.

En 1996, Google, alors baptisé BackRub, est le nom d'un projet de recherche sur lequel travaillent deux étudiants de l'université Stanford : Larry Page et Sergey Brin. Leur projet concerne les moteurs de recherche. Ils imaginent qu'un moteur de recherche qui analyserait les relations entre les sites Web pourrait donner de meilleurs résultats que ceux donnés par les moteurs de recherche de l'époque, Altavista notamment.

Le nom de domaine google.com est enregistré le 15 septembre 1997. Leur premier bureau sera un garage à Menlo Park, comme c'est souvent la tradition dans la Silicon Valley.

La devise de la société est Don't be evil (« Ne sois pas le mal / Ne sois pas mauvais »).

Année                 2005    2006    2007    (1er trimestre)
Chiffre d’affaire    6139    10674   3660   (+ 63%)
Bénéfices            1465    3070    1000     (+ 69%)
Résultats (en millions de dollars)

Camille Janik
Guillaume Willecoq

21 décembre 2007

L’URL, c’est quoi donc ?

Une technique médicale ? Une association ? Sigle souvent méconnu, l’URL (Uniform Resource Locator / Repère Uniforme de Ressources) est pourtant familier de tous. Présente dans la barre d’adresses, cet acronyme est appelé plus communément adresse Web. Cette chaîne de caractères est codée en ASCII (American Standard Code for Information Interchange), c’est-à-dire selon l’alphabet anglais. Cependant, depuis le 7 octobre 2007, l’ICANN a indiqué que les noms des sites Internet pourraient être rédigés dans 11 alphabets non occidentaux. L’URL se compose de plusieurs éléments : un protocole (http://), un domaine (www.sympatico), un TLD (.fr), un dossier (/image), un document (navigation.htm). À noter également que chaque page sur Internet est rendue unique par l’URL. Vous ne trouverez donc jamais deux pages avec le même URL.

Florian Pottiez

21 décembre 2007

La pub sur Google

ADSENSE

Ce sont des encarts publicitaires que vous hébergez sur votre site. Pour ce faire, vous créer un compte google. Vous demandez à Google de vous trouvez des pubs en rapport avec votre contenu. A chaque clic de l’internaute, sur ces encarts pub, vous touchez de la tune.

=> RECETTES
système de paiement TEF (transfert électronique de fonds) : versement de vos revenus AdSense directement sur votre compte bancaire, tous les mois et sans intervention de notre part.
=> COUT
Aucun frais !!!

ADWORDS

Quand vous lancez Google, selon le mot que vous taperez, vous avez une colonne de liens à droite.
On vous incite à vous rendre sur un site commercial.
(« adidas » => La Redoute + 3Suisses)

A la source de cette combine commerciale, vous avez un entrepreneur qui donne des royalties à Google, pour le remercier de la pub qu’il lui est faite.

L’entrepreneur met en lien vers sa bannière internet une série de mots clés. Google se charge de lui amener le chaland. En grande majorité, cela concerne des sites marchands.

=> RECETTES
Vous pouvez demander de 3 à 8 centimes par clic.
=> COUT
vous ne payez google que si un internaute clique sur les adwords.
=> ENCHERES
Plus vous payez google plus votre annonce adwords sera tout en haut.

LA DERIVE

« CPE », « Jack Lang », « Ségolène Royal », « Jospin », « Fabius », « Strauss-Kahn » ou « Parti socialiste » sont des adwords achetés par le parti UMP. Quand vous tapiez ces mots sur google.fr, pendant les présidentielles 2007, vous avez à droite des sites qui vous dirigent vers l’UMP.

Frédéric Coulon

21 décembre 2007

Quel concentrateur, quel usage…

Hubs, switchs et routeurs… Trois termes abscons pour en fait désigner un seul et même objet : le concentrateur, c’est-à-dire le nœud central d’un réseau informatique. Ce concentrateur permet d’interconnecter plusieurs appareils, ordinateurs ou périphériques (clé USB…). En fait, hubs, switchs et routeurs apparaissent comme des « prises multiples » d’un réseau informatique. Toutefois, il existe des différences sensibles entre les trois boîtiers :
• Le hub. Le plus basique des trois. On l’utilise dans le cadre d’un réseau local, comprenant un nombre de machines limitées. Il est surtout recommandé pour un usage privé, à l’usage du particulier. Dans le cas du hub, une information envoyée à un destinataire sera transmise à tous les ordinateurs du réseau.
• Le switch. Plus intelligent que le précédent, le switch est capable de faire le tri entre les machines. Un message envoyé à un destinataire sera reçu par ce seul destinataire, et non par toutes les machines. Il est donc apte à travailler sur un réseau informatique de grande taille.
• Le routeur. Le plus développé de tous. Son rôle est de transmettre les paquets dont la destination se trouve sur un autre sous réseau à un nœud du réseau afin de les rapprocher de leur destination finale. Les premiers routeurs des années 1960 étaient de simple micro-ordinateurs. Même si les ordinateurs ordinaires peuvent être utilisés pour faire le routage, les routeurs modernes sont plus souvent des ordinateurs très spécialisés, habituellement avec du matériel supplémentaire pour accélérer des fonctions, comme le transfert (acheminement) de paquets. Les routeurs actuels jouent donc pour les données un rôle proche de celui des commutateurs téléphoniques pour la voix. Un routeur doit être connecté à au moins deux réseaux informatiques pour être utile, sinon il n'aura rien à « router ». Dans les faits, un routeur moderne est un boîtier regroupant une carte-mère, avec un microprocesseur, mémoire ROM, RAM ainsi que les ressources réseaux nécessaires (WiFi, Ethernet...).
Les principaux fabricants de ces concentrateurs sont l’Américain Cisco (qui a même commencé dans cette branche, avant de devenir le monstre que l’on connaît aujourd’hui), le Canadien Nortel… En France, Alcatel est le n°1 du marché. Concernant les prix, le particulier pourra se les procurer à moins de 100 euros. Pour le professionnel ou l’entreprise, le prix pourra en revanche monter jusqu’à 3000 euros.

Camille Janik
Guillaume Willecoq

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